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CONSOLE_CODES

NOM

console_codes − Séquence de contrôle des consoles

DESCRIPTION

Sous Linux, le gestionnaire de console implémente un sous−ensemble important des séquences de contrôle des terminaux VT102 et ECMA−48/ISO 6429/ANSI X3.64, ainsi que quelques séquences spécifiques pour le changement de palette de couleurs, de jeu de caractères, etc. Dans la description ci−dessous, la seconde colonne de la table contient les mnémoniques ECMA−48 ou DEC (ces derniers ayant le préfixe DEC) pour chaque fonction indiquée. Les séquences sans mnémonique ne correspondent ni à l’ECMA−48 ni au VT102.

Lorsque tout le prétraitement nécessaire à une sortie est terminé, et qu’un flux de caractères arrive au gestionnaire de console pour être effectivement affiché, la traduction des codes utilisés pour le prétraitement en codes utilisés pour l’affichage a lieu avant tout.

Si la console est en mode UTF−8, les octets arrivant sont tout d’abord assemblés en codes sur 16 bits au standard Unicode. Sinon, chaque octet est transformé en fonction de la table de correspondance en cours (qui convertit chaque octet en une valeur Unicode). Consultez la section JEUX DE CARACTÈRES plus bas pour plus de détails.

Normalement, la valeur Unicode est convertie en un index dans la table de caractères, qui est alors stocké dans la mémoire vidéo, afin que le symbole graphique correspondant (comme ceux qui se trouvent dans la mémoire morte vidéo), apparaisse sur l’écran. Notez que l’utilisation de l’Unicode, et la conception des PC, permettent de disposer simultanément de 512 symboles différents.

Si la valeur Unicode rencontrée est un caractère de contrôle ou si l’on est déjà dans le traitement d’une séquence d’échappement, la valeur sera traitée de manière particulière. Plutôt que d’être convertie en un index dans la table des caractères et affichée comme un symbole, elle peut provoquer un déplacement du curseur ou toute autre fonction de contrôle. Consultez le paragraphe CONTRÔLE DE LA CONSOLE LINUX plus bas pour plus de détails.

Il vaut mieux éviter en général de coder en dur les contrôles de terminaux dans les programmes. Linux propose l’utilisation de la base de données terminfo(5) concernant les possibilités des terminaux. Plutôt que d’émettre des séquences d’échappement à la main, vous pourrez presque toujours utiliser des bibliothèques de gestion de terminaux utilisant terminfo ou des utilitaires comme ncurses(3), tput(1) ou reset(1).

Commandes de la console Linux
Ce paragraphe décrit tous les caractères de commande et les séquences d’échappement qui déclenchent certaines fonctions spéciales (c’est−à−dire n’affichant pas un symbole graphique à la position du curseur) sur la console Linux.

Caractères de contrôle

Un caractère est dit « de contrôle » s’il correspond à l’un des 14 codes suivants (avant traduction par la table de correspondance en cours) : 00 (NUL), 07 (BEL), 08 (BS), 09 (HT), 0A (LF), 0B (VT), 0C (FF), 0D (CR), 0E (SO), 0F (SI), 18 (CAN), 1A (SUB), 1B (ESC), 7F (DEL). Un mode d’affichage des caractères de contrôle (voir plus bas), dans lequel les codes 07, 09, 0B, 18, 1A, et 7F seront quand même affichés sous forme graphique, peut être défini. Inversement, en mode UTF−8, tous les codes de l’intervalle 00−1F sont considérés comme des caractères de contrôle quel que soit le mode d’affichage de ces codes.

Lorsqu’un caractère de contrôle est rencontré, il agit immédiatement, puis est oublié (même au milieu d’une séquence d’échappement, laquelle continue avec le caractère suivant). Toutefois, ESC indique le début d’une nouvelle séquence d’échappement, annulant alors une éventuelle séquence déjà commencée. De même, CAN et SUB annulent toute séquence d’échappement entamée. Les caractères de contrôle reconnus sont BEL, BS, HT, LF, VT, FF, CR, SO, SI, CAN, SUB, ESC, DEL, CSI. Ils effectuent les actions suivantes :

BEL (0x07, ^G) émet un bip,

BS (0x08, ^H) revient en arrière d’une colonne (mais ne remonte pas à la ligne précédente quand il est invoqué en début de ligne),

HT (0x09, ^I) saute à la prochaine tabulation ou à la fin de ligne s’il n’y a pas de tabulation d’ici là,

LF (0x0A, ^J), VT (0x0B, ^K) et FF (0x0C, ^L) effectuent tous les trois un saut de ligne, et si LF/NL (mode new−line) est actif, effectue un retour−chariot ;

CR (0x0D, ^M) déclenche un retour−chariot,

SO (0x0E, ^N) active le jeu de caractères G1,

SI (0x0F, ^O) active le jeu de caractères G0,

CAN (0x18, ^X) et SUB (0x1A, ^Z) interrompent les séquences d’échappement,

ESC (0x1B, ^[) débute une séquence d’échappement,

DEL (0x7F) est ignoré,

CSI (0x9B) est équivalent à ESC [.

Séquences d’échappement ESC, non CSI

     

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Séquences d’échappement ECMA−48 CSI

CSI (ou ESC [) est suivi d’une série de paramètres, au plus NPAR (16), représentés par des nombres décimaux séparés par des points−virgules. Un paramètre vide ou absent est considéré comme nul. La série de paramètres peut être précédée par un point d’interrogation.

Toutefois, après CSI [ (ou ESC [ [) un seul caractère est lu, et le reste de la séquence est ignoré. L’idée est d’éliminer les touches de fonctions doublées.

L’action déclenchée par une séquence CSI est indiquée par le dernier caractère.

                           

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Affichage graphique ECMA−48

La séquence ECMA−48 SGR suivante ESC [ paramètres m définit les paramètres d’affichage. Plusieurs attributs peuvent être indiqués dans la même séquence, séparés par des points−virgules. Un attribut vide (entre les points−virgules ou en début ou fin de chaîne) est interprété comme valant zéro.

                       

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Modes ECMA−48

ESC [ 3 h

DECCRM (inactif par défaut) : afficher les caractères de contrôle.

ESC [ 4 h

DECIM (inactif par défaut) : mode d’insertion.

ESC [ 20 h

LF/NL (inactif par défaut) : faire suivre les LF, VT ou FF par un CR.

Demande de rapport d’état ECMA−48
ESC [ 5 n

Rapport d’état du périphérique (DSR) : la réponse est ESC [ 0 n (Terminal OK).

ESC [ 6 n

Rapport de position du curseur (CPR) : la réponse est ESC [ ; x R, où x,y est la position actuelle du curseur.

Modes privés DEC (DECSET/DECRST)

Ces modes ne sont pas décrits dans l’ECMA−48. La liste ci−dessous présente les séquences d’activation des modes, les séquences de désactivation sont obtenues en remplaçant le « h » final par un « l ».
ESC [ ? 1 h

DECCKM (inactif par défaut) : les touches de déplacement du curseur émettent un préfixe ESC O plutôt que ESC [.

ESC [ ? 3 h

DECCOLM (inactif par défaut) : bascule de 80 colonnes à 132 colonnes. Les sources du gestionnaire de console indiquent que ce code n’est pas suffisant à lui seul. Certains utilitaires comme resizecons(8) modifient également les registres matériels de la carte vidéo.

ESC [ ? 5 h

DECSCNM (inactif par défaut) : mode d’inversion vidéo.

ESC [ ? 6 h

DECOM (inactif par défaut) : adressage du curseur relatif au coin haut gauche de la région de défilement.

ESC [ ? 7 h

DECAWM (actif par défaut) : saut de ligne automatique. Un caractère émis après la colonne 80 (ou 132 en mode DECCOLM), est affiché au début de la ligne suivante.

ESC [ ? 8 h

DECARM (actif par défaut) : répétition automatique des touches du clavier.

ESC [ ? 9 h

État de souris X10 (inactif par défaut) : définit le mode de rapport d’état de la souris à 1 (ou le réinitialise à 0) — voir plus bas.

ESC [ ? 25 h

DECTECM (actif par défaut) : curseur visible.

ESC [ ? 1000 h

État de souris X11 (inactif par défaut) : définit le mode de rapport d’état de la souris à 2 (ou le réinitialise à 0) — voir plus bas.

Séquences CSI privées de la console Linux

Les séquences suivantes ne sont ni ECMA−48 ni du VT102 original. Elles sont spécifiques au gestionnaire de console de Linux. Les couleurs sont indiquées ainsi : 0 = noir, 1 = rouge, 2 = vert, 3 = marron, 4 = bleu, 5 = magenta, 6 = cyan, 7 = blanc.

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Caractères de contrôle
Le noyau connaît 4 types de traductions des octets en symboles graphiques pour la console. Les 4 tables sont a) Latin1 −> PC, b) VT100 graphique −> PC, c) PC −> PC, d) spécifique utilisateur.

Il existe deux jeux de caractères, appelés G0 et G1, et l’un d’entre eux est sélectionné comme jeu en cours (initialement G0). La frappe de ^N sélectionne le jeu G1 comme jeu en cours, la frappe de ^O sélectionne le jeu G0.

Ces variables G0 et G1 pointent vers des tables de traduction, qui peuvent être modifiées par l’utilisateur. Initialement elles pointent respectivement vers les tables a) et b). Les séquences ESC ( B, ESC ( 0, ESC ( U et ESC ( K font pointer G0 respectivement vers les tables a), b), c) et d). Les séquences ESC ) B, ESC ) 0, ESC ) U, ESC ) K font pointer G1 vers les tables a), b), c) et d) respectivement.

La séquence ESC c réinitialise le terminal. C’est ce qui doit être effectué lorsque l’écran est rempli de codes incompréhensibles. La commande classique « echo ^V^O » sélectionne seulement le jeu G0, elle ne garantit pas que G0 pointe sur la table a). Dans certaines distributions, on trouve une commande reset(1) qui effectue simplement « echo ^[c ». Si l’entrée de la base terminfo pour la console est correcte, et dispose d’une entrée rs1=\Ec alors la commande « tput reset » fonctionnera aussi.

La table de correspondance définie par l’utilisateur peut être construite en utilisant mapscrn(8). Cette correspondance agit ainsi : si le symbole c doit être imprimé, alors le symbole s = map[c] est envoyé à la mémoire vidéo. La représentation graphique correspondant à s est placée par défaut en mémoire morte, et peut être modifiée en utilisant setfont(8).

Gestion de souris
Les possibilités de gestion de souris sont prévues pour fournir un rapport d’état de la souris compatible avec xterm(1). Comme le gestionnaire de console n’a aucun moyen de connaître le périphérique, ni le type de souris, ces rapports sont envoyés dans le flux de saisie de la console uniquement quand une requête ioctl de mise à jour de la souris est reçue. Ces requêtes doivent être déclenchées par une application utilisateur capable de gérer les souris, comme le démon gpm(8).

Les séquences de suivi de souris engendrées par xterm(1) sont encodés dans un unique caractère, de code valeur+040. Par exemple, « ! » correspond à 1. Le système de coordonnées d’écran commence à 1.

En mode de compatibilité X10, une séquence d’échappement est envoyée lors de l’appui sur un bouton, encodant la position et le numéro du bouton pressé. Ce mode est activé avec ESC [ ? 9 h et désactivé par ESC [ ? 9 l. Lors d’une pression sur un bouton, xterm(1) envoie ESC [ M bxy (6 caractères). Dans ce message b correspond au numéro de bouton −1, x et y sont les coordonnées de l’emplacement où le bouton a été pressé. Ce sont les mêmes codes que ceux produits par le noyau.

En mode de suivi normal (non implémenté sous Linux 2.0.24), une séquence d’échappement est envoyée lors de l’appui sur un bouton, mais aussi lors du relâchement. Des informations sur les touches de modification (SHIFT, CTL...) sont également envoyées. Le mode est activé par ESC [ ? 1000 h et désactivé avec ESC [ ? 1000 l. Lors de l’appui ou du relâchement d’un bouton, xterm(1) envoie ESC [ M bxy. Les deux bits de poids faible de b correspondent à l’état du bouton 0=B1 pressé, 1=B2 pressé, 2=B3 pressé, 3=relâchement. Les bits de poids forts codent l’éventuelle touche modificatrice enfoncée lors de l’appui sur le bouton 4=Shift, 8=Méta, 16=Control. À nouveau x et y sont les coordonnées de la souris au moment de l’événement. Le coin en haut à gauche de l’écran a pour coordonnées (1,1).

Comparaison avec d’autres terminaux
Beaucoup d’autres terminaux sont dits compatibles VT100, comme la console Linux. Nous allons voir ici les différences entre cette dernière et les deux types principaux de terminaux : le DEC VT102 et xterm(1).

Gestion des caractères de contrôle

Le VT102 reconnaissait les caractères de contrôle supplémentaires suivants :

NUL (0x00) était ignoré.

ENQ (0x05) renvoyait un message d’identification.

DC1 (0x11, ^Q, XON) reprenait une transaction.

DC3 (0x13, ^S, XOFF) demandait au vt100 d’ignorer tous les codes saufs XOFF et XON (et d’arrêter également de transmettre).

Une gestion de DC1/DC3 compatible VT100 pouvait être activé par le gestionnaire de terminaux.

Le programme xterm(1) (en mode VT100) reconnaît les caractères de contrôle BEL, BS, HT, LF, VT, FF, CR, SO, SI, ESC.

Séquences d’échappement

Les séquences d’échappement VT100 non implémentées sur la console Linux :

 

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Le programme xterm(1) (en mode VT100) reconnaît ESC c, ESC # 8, ESC >, ESC =, ESC D, ESC E, ESC H, ESC M, ESC N, ESC O, ESC P ... ESC \, ESC Z (il répond ESC [ ? 1 ; 2 c, « Je suis un VT100 avec des options vidéo avancées ») et ESC ^ ... ESC \ avec les mêmes significations que celles indiquées plus haut. Il accepte ESC (, ESC ), ESC *, ESC + suivis de 0, A, B pour les caractères spéciaux DEC, les tracés de lignes, l’ASCII UK, et l’ASCII US, respectivement.

L’utilisateur peut configurer xterm(1) pour qu’il réponde aux séquences de contrôle VT220, qui s’identifiera comme VT52, VT100, et au−delà selon la manière dont il est configuré et initialisé.

Il accepte ESC ] (OSC) pour définir certaines ressources. En plus de la fin de chaîne (ST) ECMA−48, xterm(1) accepte qu’une chaîne OSC se termine par BEL. Il y a quelques séquences de contrôle OSC reconnues par xterm(1) :

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Les codes suivants ont une signification légèrement différente des codes originaux (sauvant plus d’états, avec un comportement plus proche de VT100/VT220) :

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Il reconnaît également :

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Il reconnaît également ESC % et fournit une implémentation plus complète d’UTF−8 que la console Linux.

Séquences CSI

Les anciennes versions de xterm(1), par exemple depuis X11R5, interprètent un SGR clignotant comme un SGR gras. Les versions suivantes implémentant les couleurs ANSI, par exemple XFree86 3.1.2A en 1995, ont amélioré cela en autorisant l’attribut clignotant à être affiché comme une couleur. Les versions modernes de xterm implémentent le SGR clignotant sous la forme de texte clignotant et autorisent encore le texte coloré comme possibilité alternative de rendu des SGR. Les versions de base sous X11R6 ne reconnaissaient pas les SGR de choix de couleur avant la publication de X11R6.8, qui a incorporé le xterm de XFree86. Toutes les séquences ECMA−48 CSI reconnues par Linux le sont aussi par xterm(1), bien que xterm(1) implémente plusieurs séquences de contrôle ECMA−48 et DEC non reconnues par Linux.

Le programme xterm(1) reconnaît également toutes les séquences privées DEC citées plus haut, mais aucune séquence privée Linux. Pour plus de détails sur les séquences privées d’xterm(1) consultez le document Xterm Control Sequences d’Edward Moy et Stephen Gildea, disponible avec la distribution X. Pour une vue générale chronologique,

http://invisible-island.net/xterm/xterm.log.html

indique les changements apportés à xterm.

Le programme vttest

http://invisible-island.net/vttest/

montre le fonctionnement de beaucoup de ces séquences de contrôle. La distribution source de xterm(1) contient également des scripts d’exemple utilisant d’autres fonctionnalités.

NOTES

ESC 8 (DECRC) n’est pas capable de revenir au jeu de caractères précédant le changement fait avec ESC %.

BOGUES

Avec le noyau 2.0.23, CSI fonctionne mal, et les caractères NUL ne sont pas ignorés dans les séquences d’échappement.

Certaines versions du noyau (après 2.0) interprètent les séquences de contrôle sur 8 bits. Ces contrôles « C1 » utilisent des codes entre 128 et 159 pour remplacer ESC [, ESC ] et d’autres initiateurs similaires de séquence de contrôle sur deux octets. Il en existe des fragments dans les noyaux modernes (soit négligés soit cassés par des changements à la gestion UTF−8), mais l’implémentation est incomplète et ne devrait être considérée comme fiable.

Les séquences « privées » Linux ne suivent pas les règles ECMA−48 des séquences de contrôle en mode privé. En particulier, celles terminant par ] n’utilisent pas un caractère de terminaison standard. La séquence OSC (de réglage de la palette) pose un problème plus important, puisque xterm(1) peut l’interpréter comme une séquence de contrôle exigeant une fin de chaîne (« string terminator » ou ST). Contrairement aux séquences setterm(1) qui seront ignorées (étant des séquences de contrôle invalides), la séquence de palette donnera l’impression que xterm(1) s’est figé (bien que presser la touche entrée règle ce problème). Pour satisfaire les applications qui ont été codées en dur pour utiliser les séquences de contrôle Linux, réglez la ressource brokenLinuxOSC de xterm(1) à vrai.

Une ancienne version de ce document insinuait que Linux reconnaissait la séquence de contrôle ECMA−48 destinée au texte invisible. Elle est ignorée.

VOIR AUSSI

console(4), console_ioctl(4), charsets(7)

COLOPHON

Cette page fait partie de la publication 3.65 du projet man−pages Linux. Une description du projet et des instructions pour signaler des anomalies peuvent être trouvées à l’adresse http://www.kernel.org/doc/man−pages/.

TRADUCTION

Depuis 2010, cette traduction est maintenue à l’aide de l’outil po4a <http://po4a.alioth.debian.org/> par l’équipe de traduction francophone au sein du projet perkamon <http://perkamon.alioth.debian.org/>.

Christophe Blaess <http://www.blaess.fr/christophe/> (1996-2003), Alain Portal <http://manpagesfr.free.fr/> (2003-2006). Simon Paillard et l’équipe francophone de traduction de Debian (2006-2009).

Veuillez signaler toute erreur de traduction en écrivant à <debian−l10n−french AT lists DOT debian DOT org> ou par un rapport de bogue sur le paquet manpages−fr.

Vous pouvez toujours avoir accès à la version anglaise de ce document en utilisant la commande « man −L C <section> <page_de_man> ».

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